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Nos Pilotes
Qui ils sont
Nos Pilotes estimés - un groupe de professionnel.les accompli.es issus de divers domaines qui agissent comme mentors et conseill.ers/ères auprès de l'Observatoire. Leur expertise et leurs conseils enrichissent notre approche interdisciplinaire et garantissent que notre travail reste ancré dans les réalités pratiques.
Cohorte 2024-2025


L'honorable Mahmud Jamal
Le juge Mahmud Jamal a été nommé à la Cour suprême du Canada le 1er juillet 2021. Il a été juge de la Cour d’appel de l’Ontario de 2019 à 2021.
Avant sa nomination à la magistrature, le juge Jamal a exercé pendant plus de 23 ans au sein du cabinet Osler, Hoskin & Harcourt S.E.N.C.R.L./s.r.l., dans le domaine de la plaidoirie en appel, dans des affaires de droit constitutionnel et public, de recours collectifs et de litiges commerciaux. Il a agi comme procureur d’une partie ou d’un intervenant devant la Cour suprême du Canada dans le cadre de 35 appels portant sur une vaste gamme de questions civiles, constitutionnelles, pénales et réglementaires, y compris des questions de droit civil québécois. Il a aussi plaidé devant les cours de sept provinces, la Cour fédérale, la Cour d’appel fédérale, la Cour canadienne de l’impôt, ainsi que devant plusieurs tribunaux administratifs fédéraux et provinciaux.
Lorsqu’il était avocat, le juge Jamal a été administrateur de l’Association canadienne des libertés civiles, de la Société des plaideurs et de la Osgoode Society for Canadian Legal History. Il a également été conseiller en plaidoirie auprès de l’Institut de plaidoirie devant la Cour suprême et administrateur de la Revue canadienne du droit de commerce. Il a enseigné le droit constitutionnel à la Faculté de droit de l’Université McGill et le droit administratif à la Osgoode Hall Law School, et il a publié de nombreux articles dans ses domaines de pratique. Il a également présidé le programme national pro bono d’Osler et a siégé à son conseil d’administration.
Le juge Jamal est professeur auxiliaire à la Faculté de droit de l’Université McGill, senior fellow au Massey College de l’Université de Toronto et président du comité de sélection des boursiers Rhodes pour l’Ontario.
Né au Kenya, le juge Jamal a grandi en Angleterre et a terminé ses études secondaires à Edmonton, en Alberta. Il a obtenu un baccalauréat ès arts de l’Université de Toronto, un baccalauréat en droit et un baccalauréat en droit civil de la Faculté de droit de l’Université McGill ainsi qu’une maîtrise en droit de la Faculté de droit de Yale, qu’il a fréquentée en tant que boursier Fulbright. Il a servi comme auxiliaire juridique auprès du juge Melvin L. Rothman, de la Cour d’appel du Québec et du juge Charles D. Gonthier, de la Cour suprême du Canada.
Avant sa nomination à la magistrature, le juge Jamal a exercé pendant plus de 23 ans au sein du cabinet Osler, Hoskin & Harcourt S.E.N.C.R.L./s.r.l., dans le domaine de la plaidoirie en appel, dans des affaires de droit constitutionnel et public, de recours collectifs et de litiges commerciaux. Il a agi comme procureur d’une partie ou d’un intervenant devant la Cour suprême du Canada dans le cadre de 35 appels portant sur une vaste gamme de questions civiles, constitutionnelles, pénales et réglementaires, y compris des questions de droit civil québécois. Il a aussi plaidé devant les cours de sept provinces, la Cour fédérale, la Cour d’appel fédérale, la Cour canadienne de l’impôt, ainsi que devant plusieurs tribunaux administratifs fédéraux et provinciaux.
Lorsqu’il était avocat, le juge Jamal a été administrateur de l’Association canadienne des libertés civiles, de la Société des plaideurs et de la Osgoode Society for Canadian Legal History. Il a également été conseiller en plaidoirie auprès de l’Institut de plaidoirie devant la Cour suprême et administrateur de la Revue canadienne du droit de commerce. Il a enseigné le droit constitutionnel à la Faculté de droit de l’Université McGill et le droit administratif à la Osgoode Hall Law School, et il a publié de nombreux articles dans ses domaines de pratique. Il a également présidé le programme national pro bono d’Osler et a siégé à son conseil d’administration.
Le juge Jamal est professeur auxiliaire à la Faculté de droit de l’Université McGill, senior fellow au Massey College de l’Université de Toronto et président du comité de sélection des boursiers Rhodes pour l’Ontario.
Né au Kenya, le juge Jamal a grandi en Angleterre et a terminé ses études secondaires à Edmonton, en Alberta. Il a obtenu un baccalauréat ès arts de l’Université de Toronto, un baccalauréat en droit et un baccalauréat en droit civil de la Faculté de droit de l’Université McGill ainsi qu’une maîtrise en droit de la Faculté de droit de Yale, qu’il a fréquentée en tant que boursier Fulbright. Il a servi comme auxiliaire juridique auprès du juge Melvin L. Rothman, de la Cour d’appel du Québec et du juge Charles D. Gonthier, de la Cour suprême du Canada.


La Très Honourable Beverley McLachlin
Juge en chef du Canada du 7 janvier 2000 au 14 décembre 2017. Juge de la Cour suprême du Canada du 30 mars 1989 au 7 janvier 2000.
La très honorable Beverley McLachlin a grandi à Pincher Creek, en Alberta. Elle a étudié à l'Université de l’Alberta, où elle a obtenu un baccalauréat ès arts (avec distinction) en philosophie en 1965, puis une maîtrise en philosophie et un baccalauréat en droit en 1968.
Admise au Barreau de l'Alberta en 1969 et au Barreau de la Colombie-Britannique en 1971, elle a exercé le droit en Alberta et en Colombie-Britannique. Pendant sept ans, à compter de 1974, elle a enseigné à titre de professeure agrégée permanente à la faculté de droit de l'Université de la Colombie-Britannique.
Elle a amorcé sa carrière judiciaire en avril 1981, à titre de juge de la Cour de Comté de Vancouver. En septembre 1981, elle a été nommée juge à la Cour suprême de la Colombie-Britannique. Elle a accédé à la Cour d'appel en décembre 1985, puis est devenue juge en chef de la Cour suprême de la Colombie-Britannique en septembre 1988. Sept mois plus tard, en avril 1989, elle a prêté serment à la Cour suprême du Canada. Le 7 janvier 2000, elle est devenue la première femme à accéder au poste de juge en chef du Canada.
Outre ses fonctions judiciaires à la Cour suprême, la très honorable Beverley McLachlin a présidé le Conseil canadien de la magistrature, le Conseil consultatif de l'Ordre du Canada et le Conseil des gouverneurs de l'Institut national de la magistrature. Elle est l'auteure de nombreux articles et autres ouvrages. Elle s'est retirée le 15 décembre 2017.
La très honorable Beverley McLachlin a grandi à Pincher Creek, en Alberta. Elle a étudié à l'Université de l’Alberta, où elle a obtenu un baccalauréat ès arts (avec distinction) en philosophie en 1965, puis une maîtrise en philosophie et un baccalauréat en droit en 1968.
Admise au Barreau de l'Alberta en 1969 et au Barreau de la Colombie-Britannique en 1971, elle a exercé le droit en Alberta et en Colombie-Britannique. Pendant sept ans, à compter de 1974, elle a enseigné à titre de professeure agrégée permanente à la faculté de droit de l'Université de la Colombie-Britannique.
Elle a amorcé sa carrière judiciaire en avril 1981, à titre de juge de la Cour de Comté de Vancouver. En septembre 1981, elle a été nommée juge à la Cour suprême de la Colombie-Britannique. Elle a accédé à la Cour d'appel en décembre 1985, puis est devenue juge en chef de la Cour suprême de la Colombie-Britannique en septembre 1988. Sept mois plus tard, en avril 1989, elle a prêté serment à la Cour suprême du Canada. Le 7 janvier 2000, elle est devenue la première femme à accéder au poste de juge en chef du Canada.
Outre ses fonctions judiciaires à la Cour suprême, la très honorable Beverley McLachlin a présidé le Conseil canadien de la magistrature, le Conseil consultatif de l'Ordre du Canada et le Conseil des gouverneurs de l'Institut national de la magistrature. Elle est l'auteure de nombreux articles et autres ouvrages. Elle s'est retirée le 15 décembre 2017.


L'honorable Patrick Healy
Patrick Healy a été nommé juge à la Cour d’appel du Québec en 2016 après avoir siégé pendant neuf ans à la Cour du Québec, Chambre criminelle et pénale. Avant sa nomination à la Cour du Québec en 2007, Patrick Healy était professeur de droit à l’Université McGill pendant presque 20 ans. Il s’est spécialisé en droit criminel dont notamment le droit positif, la procédure, la preuve, la détermination de la peine, le droit criminel comparé ainsi que le droit criminel international. Il a enseigné et publié plusieurs ouvrages portant sur tous ces sujets. Il a aussi donné plusieurs conférences à travers le Canada et ailleurs. Pendant plusieurs années, il a participé activement à la réforme du droit criminel. Il a prodigué des conseils aux gouvernements et à divers organismes non gouvernementaux; il a également comparu à de nombreuses occasions devant des comités parlementaires dans le cadre d’étude de projets de loi.
Le juge Healy a travaillé autant pour la Couronne que la défense au Québec et ailleurs. Il a été avocat-conseil chez Shadley Battista à Montréal. Pendant plusieurs années, il a été membre du Comité permanent en droit criminel du Barreau du Québec et membre du Comité exécutif de l’Association du Barreau canadien – Division du Québec. Il était également membre du Conseil général de l’Association du Barreau canadien – Division du Québec. Le juge Healy a été membre du comité d’enquête, en vertu de la Loi sur les juges, sur le mandat confié à un juge de la Cour supérieure du Québec. À plusieurs reprises, il a porté assistance au Conseil canadien de la magistrature sur des questions relatives à la discipline judiciaire et autres. Il a été membre de l’Association Internationale de Droit Pénal et de « l’International Association of Prosecutors ». Depuis 1995, Patrick Healy, en collaboration avec Anne-Marie Boisvert, est l’un des rédacteurs de la Revue canadienne de droit pénal. Il a le titre de gouverneur à la Fondation du Barreau du Québec. Il a donné plusieurs conférences dans le cadre de formations destinées aux juges et aux juristes, plusieurs de ces formations ont été organisées par l’Institut national de la magistrature. Il a été président de l’Institut canadien d’administration de la justice (2013-2015) et était directeur, et maintenant vice-président, de l’International Society for the Reform of Criminal Law. Jusqu’à sa nomination à la Cour d’appel, il occupait la fonction de chargé de cours à la Faculté de droit de l’Université McGill où il enseignait deux cours chaque année; il demeure également membre du Centre for Human Rights and Legal Pluralism.
Le juge Healy a travaillé autant pour la Couronne que la défense au Québec et ailleurs. Il a été avocat-conseil chez Shadley Battista à Montréal. Pendant plusieurs années, il a été membre du Comité permanent en droit criminel du Barreau du Québec et membre du Comité exécutif de l’Association du Barreau canadien – Division du Québec. Il était également membre du Conseil général de l’Association du Barreau canadien – Division du Québec. Le juge Healy a été membre du comité d’enquête, en vertu de la Loi sur les juges, sur le mandat confié à un juge de la Cour supérieure du Québec. À plusieurs reprises, il a porté assistance au Conseil canadien de la magistrature sur des questions relatives à la discipline judiciaire et autres. Il a été membre de l’Association Internationale de Droit Pénal et de « l’International Association of Prosecutors ». Depuis 1995, Patrick Healy, en collaboration avec Anne-Marie Boisvert, est l’un des rédacteurs de la Revue canadienne de droit pénal. Il a le titre de gouverneur à la Fondation du Barreau du Québec. Il a donné plusieurs conférences dans le cadre de formations destinées aux juges et aux juristes, plusieurs de ces formations ont été organisées par l’Institut national de la magistrature. Il a été président de l’Institut canadien d’administration de la justice (2013-2015) et était directeur, et maintenant vice-président, de l’International Society for the Reform of Criminal Law. Jusqu’à sa nomination à la Cour d’appel, il occupait la fonction de chargé de cours à la Faculté de droit de l’Université McGill où il enseignait deux cours chaque année; il demeure également membre du Centre for Human Rights and Legal Pluralism.


Sénatrice Michèle Audette
Michèle Audette est une leader autochtone reconnue.
Née d'un père québécois et d'une mère innue, Mme Audette est originaire de la communauté innue de Uashat mak Mani-Utenam au Québec. Elle joue un rôle clé dans la transformation des rapports entre les peuples autochtones et la société québécoise et canadienne depuis les années 1990. À seulement 27 ans, elle a été élue présidente de l’association Femmes autochtones du Québec. En 2004, elle a été nommée sous-ministre associée du Secrétariat à la condition féminine du Québec. Elle a servi à titre de présidente de l’Association des femmes autochtones du Canada de 2012 à 2015. En 2015, elle aide à la création d’un programme innovateur de deuxième cycle en administration publique autochtone pour l’École nationale d’administration publique.
Mme Audette a été nommée parmi les cinq commissaires chargés de mener l’Enquête nationale sur les femmes et les filles autochtones disparues et assassinées. Depuis 2019, elle occupe le poste d’adjointe au vice-recteur aux études et aux affaires étudiantes et de conseillère principale à la réconciliation et à l'éducation autochtone de l’Université Laval.
En reconnaissance de ses contributions importantes, Mme Audette a reçu le Prix Femmes de mérite 2018 dans la catégorie Prix Inspiration de la Fondation Y des femmes de Montréal, le titre Femme de l’année du Conseil des femmes de Montréal en 2014 et la Médaille du jubilé de diamant de la reine Elizabeth II en 2012. L’Université de Montréal lui a également conféré un doctorat honoris causa afin de souligner l’envergure de son engagement pour la cause des femmes autochtones et son inépuisable travail pour la réconciliation entre les peuples.
Mme Audette a fait des études en arts visuels à l’Université du Québec à Montréal et en enseignement des beaux-arts à l’Université Concordia.
Née d'un père québécois et d'une mère innue, Mme Audette est originaire de la communauté innue de Uashat mak Mani-Utenam au Québec. Elle joue un rôle clé dans la transformation des rapports entre les peuples autochtones et la société québécoise et canadienne depuis les années 1990. À seulement 27 ans, elle a été élue présidente de l’association Femmes autochtones du Québec. En 2004, elle a été nommée sous-ministre associée du Secrétariat à la condition féminine du Québec. Elle a servi à titre de présidente de l’Association des femmes autochtones du Canada de 2012 à 2015. En 2015, elle aide à la création d’un programme innovateur de deuxième cycle en administration publique autochtone pour l’École nationale d’administration publique.
Mme Audette a été nommée parmi les cinq commissaires chargés de mener l’Enquête nationale sur les femmes et les filles autochtones disparues et assassinées. Depuis 2019, elle occupe le poste d’adjointe au vice-recteur aux études et aux affaires étudiantes et de conseillère principale à la réconciliation et à l'éducation autochtone de l’Université Laval.
En reconnaissance de ses contributions importantes, Mme Audette a reçu le Prix Femmes de mérite 2018 dans la catégorie Prix Inspiration de la Fondation Y des femmes de Montréal, le titre Femme de l’année du Conseil des femmes de Montréal en 2014 et la Médaille du jubilé de diamant de la reine Elizabeth II en 2012. L’Université de Montréal lui a également conféré un doctorat honoris causa afin de souligner l’envergure de son engagement pour la cause des femmes autochtones et son inépuisable travail pour la réconciliation entre les peuples.
Mme Audette a fait des études en arts visuels à l’Université du Québec à Montréal et en enseignement des beaux-arts à l’Université Concordia.


Grand Chef Pierre Picard
Pierre Picard est grand chef de la Nation Wendat. Il possède une formation en approche d’intervention psycho-corporelle et une maîtrise en sexologie clinique et s’est d’abord spécialisé en matière d’agression sexuelle chez les Premières Nations du Québec. Il dirige depuis plusieurs années le Groupe de recherche et d’interventions psychosociales en milieu autochtone (GRIPMA). Conférencier, formateur, chercheur, superviseur clinique et chargé de cours à l’Université de Montréal en Santé publique, il a conduit plusieurs travaux portant exclusivement sur les problématiques psychosociales en milieu autochtone et des moyens de guérison tenant compte des différences culturelles et identitaires propres aux Premières Nations du Québec.
Il siège comme expert sur plusieurs tables de travail ou de comités gouvernementaux et collabore régulièrement à l’élaboration de politiques, de programmes et de stratégies portant notamment sur la sécurisation culturelle en milieu autochtone.
Il est un des récipiendaires de la médaille des Premiers Peuples remise par le Lieutenant-Gouverneur du Québec pour l’année 2022.
Il siège comme expert sur plusieurs tables de travail ou de comités gouvernementaux et collabore régulièrement à l’élaboration de politiques, de programmes et de stratégies portant notamment sur la sécurisation culturelle en milieu autochtone.
Il est un des récipiendaires de la médaille des Premiers Peuples remise par le Lieutenant-Gouverneur du Québec pour l’année 2022.


Jeannette Corbière Lavell
Jeannette Corbiere Lavell est éducatrice et militante de longue date pour les droits des femmes autochtones. Née dans la Première nation Wikwemikong sur l'île Manitoulin, elle termine ses études commerciales à North Bay avant de déménager à Toronto, où elle travaille pour le Native Canadian Centre. En 1970, elle perd son statut d'Indienne en vertu de la Loi sur les Indiens lorsqu'elle épouse un homme non autochtone. Constatant que cette disposition ne s'applique pas aux hommes autochtones, elle conteste la Loi sur les Indiens. Malgré le rejet de ce premier recours, celui-ci inspire d'autres poursuites, que les demandeures finiront par remporter. Mme Corbiere Lavell collabore étroitement avec de nombreuses organisations autochtones; elle a déjà été présidente de l'Association des femmes autochtones du Canada. Elle est cofondatrice et ancienne présidente de l'Ontario Native Women's Association. Elle est récipiendaire de l'Ordre de Canada et d'un Prix du Gouverneur général en commémoration de l'affaire « personne » et détient deux doctorats honorifiques : l'un de l'Université York et l'autre de l'Université de Nipissing.


Valérie Assouline
Me Valérie Assouline est avocate à Montréal depuis plus de 25 ans et fondatrice du cabinet SOS Avocats, un bureau boutique reconnu pour son engagement soutenu en droit de la jeunesse et en droit de la famille.
Bâtonnière du Barreau de Montréal depuis 2025, elle milite pour une justice humaine, accessible et imputable, notamment en matière de protection de l’enfance. Elle s’est illustrée dans plusieurs dossiers marquants, dont celui de la fillette de Granby, qui a révélé de graves failles institutionnelles. Le pro bono constitue une part importante de sa pratique, particulièrement dans des dossiers liés à des causes d’intérêt collectif.
Formatrice et vulgarisatrice engagée, elle donne régulièrement des formations sur les enjeux systémiques entourant les droits des enfants et les obligations de l’État.
Active en politique municipale pendant huit ans à la Ville de Dollard-des-Ormeaux, elle a contribué, entre autres, à la mise en place d’une Charte des droits des enfants. Son engagement envers sa communauté et son travail constant pour faire avancer la place des femmes en politique lui ont valu la Médaille du Sénat du Canada.
Bâtonnière du Barreau de Montréal depuis 2025, elle milite pour une justice humaine, accessible et imputable, notamment en matière de protection de l’enfance. Elle s’est illustrée dans plusieurs dossiers marquants, dont celui de la fillette de Granby, qui a révélé de graves failles institutionnelles. Le pro bono constitue une part importante de sa pratique, particulièrement dans des dossiers liés à des causes d’intérêt collectif.
Formatrice et vulgarisatrice engagée, elle donne régulièrement des formations sur les enjeux systémiques entourant les droits des enfants et les obligations de l’État.
Active en politique municipale pendant huit ans à la Ville de Dollard-des-Ormeaux, elle a contribué, entre autres, à la mise en place d’une Charte des droits des enfants. Son engagement envers sa communauté et son travail constant pour faire avancer la place des femmes en politique lui ont valu la Médaille du Sénat du Canada.


Florent Vollant
Affairé à la musique depuis l’adolescence, il se fait connaître du grand public en 2016 avec son premier album Rites de passage. Cette lancée lui a valu le Félix de la Révélation de l’année au gala de l’ADISQ en 2017. Sitôt cette première ronde terminée, il rapplique avec Grandeur mature à l’automne 2019, un deuxième album qui, comme son titre l’indique, marque une évolution. Moins de deux ans plus tard, il préparait déjà son retour : Son troisième effort petite nature, un album lucide et enflammé, paraît en septembre 2021 sous Bravo musique. Puis Émile récidive avec «Tshe Minupunanu», un extrait co-écrit avec Scott-Pien Picard et le groupe Maten, marquant le début d’une précieuse collaboration avec les membres de la communauté Innue. Sans attendre, l’artiste prend ses fans par surprise avec Tout seul comme un grand. Un quatrième album au titre adéquat, sur lequel il a opéré de façon presque entièrement autonome. C’est à l’automne 2023 qu’il présente la suite de son projet, Au bar des espoirs, son cinquième album réalisé par son ami et allié Simon Kearney. Comme son titre le suggère, cette nouvelle collection de pièces est liée par l’idée que la ligne peut être mince entre l’espoir et son contraire, le tout raconté avec un caractéristique bagout enjoué, dans le but bien simple et nécessaire de nous faire garder l’espoir et le sourire.


Émile Bilodeau
Affairé à la musique depuis l’adolescence, il se fait connaître du grand public en 2016 avec son premier album Rites de passage. Cette lancée lui a valu le Félix de la Révélation de l’année au gala de l’ADISQ en 2017. Sitôt cette première ronde terminée, il rapplique avec Grandeur mature à l’automne 2019, un deuxième album qui, comme son titre l’indique, marque une évolution. Moins de deux ans plus tard, il préparait déjà son retour : Son troisième effort petite nature, un album lucide et enflammé, paraît en septembre 2021 sous Bravo musique. Puis Émile récidive avec «Tshe Minupunanu», un extrait co-écrit avec Scott-Pien Picard et le groupe Maten, marquant le début d’une précieuse collaboration avec les membres de la communauté Innue. Sans attendre, l’artiste prend ses fans par surprise avec Tout seul comme un grand. Un quatrième album au titre adéquat, sur lequel il a opéré de façon presque entièrement autonome. C’est à l’automne 2023 qu’il présente la suite de son projet, Au bar des espoirs, son cinquième album réalisé par son ami et allié Simon Kearney. Comme son titre le suggère, cette nouvelle collection de pièces est liée par l’idée que la ligne peut être mince entre l’espoir et son contraire, le tout raconté avec un caractéristique bagout enjoué, dans le but bien simple et nécessaire de nous faire garder l’espoir et le sourire.


Dre Tina Stavrinaki
Tina Stavrinaki est professeure adjointe en droits de l'homme et en droit international à l'Institut néerlandais des droits de l'homme (SIM) et au département de droit international et européen, chercheur à RENFORCE et membre du Comité des Nations unies pour l'élimination de la discrimination raciale (vice-président 2022-2024) et rapporteur sur la recommandation générale concernant la discrimination raciale et le droit à la santé. Elle enseigne le droit international des droits de l'homme, la discrimination raciale et la santé, le genre et le droit international. Ses recherches portent sur les procédures de plainte et les mécanismes de surveillance des droits de l'homme des Nations unies, les crimes de haine, les discours de haine et l'administration de la justice pour les victimes, la liberté d'expression et le droit à l'éducation en vertu de la CEDH, ainsi que les droits sociaux, notamment en ce qui concerne les risques professionnels et la sécurité sociale. Elle a plaidé au nom de la Fondation Marangopoulos pour les droits de l'homme la plainte collective n° 30/2005, dans laquelle le Comité européen des droits sociaux a reconnu le droit à un environnement sain et la manière dont les violations environnementales dans le secteur de l'énergie portent atteinte au droit à des conditions de travail justes, sûres et saines.
Elle a une grande expérience de l'institution nationale des droits de l'homme et du HCR en Grèce. Elle a cofondé et coordonné le réseau d'enregistrement des violences racistes, reconnu comme une bonne pratique en matière d'enregistrement des crimes de haine, de soutien aux victimes et de création de synergies entre les institutions des droits de l'homme, la société civile et les autorités nationales. Dans ce contexte, elle a formé des juristes, du personnel humanitaire, des fonctionnaires et des représentants des forces de l'ordre à la prévention et à la lutte contre la discrimination raciale et à l'identification des victimes de crimes de haine.
Elle a une grande expérience de l'institution nationale des droits de l'homme et du HCR en Grèce. Elle a cofondé et coordonné le réseau d'enregistrement des violences racistes, reconnu comme une bonne pratique en matière d'enregistrement des crimes de haine, de soutien aux victimes et de création de synergies entre les institutions des droits de l'homme, la société civile et les autorités nationales. Dans ce contexte, elle a formé des juristes, du personnel humanitaire, des fonctionnaires et des représentants des forces de l'ordre à la prévention et à la lutte contre la discrimination raciale et à l'identification des victimes de crimes de haine.


Dr Markus Gehring
Dr Markus Gehring, J.S.D. (Yale), MA (Cantab), LLM (Yale), Dr iur (Hambourg), est membre du Centre for European Legal Studies (CELS), Fellow et Directeur des études en droit au Hughes Hall, ainsi que Fellow au Lauterpacht Centre for International Law. Avant de rejoindre la Faculté de droit, il a été pendant deux ans tuteur en droit du développement durable, et Fellow en droit au Robinson College de 2005 à 2012. Il a été professeur invité dans plusieurs facultés de droit à travers le monde, plus récemment à la Yale Law School (printemps 2023), et a occupé une chaire Jean Monnet de recherche ad personam en droit du développement durable à la Faculté de droit de l’Université d’Ottawa, au Canada.
Au sein de son ancien département à Cambridge, Politics and International Studies (POLIS), il est chargé de cours affilié en droit européen et international. Il est également chargé de cours affilié au sein du Department of Land Economy, Fellow fondateur du Centre for Environment, Energy and Natural Resources Governance (C-EENRG). Il est titulaire d’un J.S.D. et d’un LL.M de l’Université Yale, ainsi que d’un doctorat en droit (Dr iur) de l’Université de Hambourg.
Membre des barreaux de Francfort-sur-le-Main et de l’Ontario, il a exercé le droit commercial européen et international au sein du cabinet Cleary Gottlieb, dans leur bureau de Bruxelles. Avant de rejoindre le Robinson College, il était tuteur en droit international public à University College, Oxford. Il est également conseiller juridique principal en droit du commerce, de l’investissement et du financement durables au Centre for International Sustainable Development Law (CISDL), basé à l’Université McGill.
Il est rédacteur pour le Cambridge Yearbook of European Legal Studies et codirige la collection sur la mise en œuvre des traités sur le développement durable chez Cambridge University Press. Il est l’auteur de plusieurs publications sur le droit de l’Union européenne, le droit international et le droit du développement durable.
Au sein de son ancien département à Cambridge, Politics and International Studies (POLIS), il est chargé de cours affilié en droit européen et international. Il est également chargé de cours affilié au sein du Department of Land Economy, Fellow fondateur du Centre for Environment, Energy and Natural Resources Governance (C-EENRG). Il est titulaire d’un J.S.D. et d’un LL.M de l’Université Yale, ainsi que d’un doctorat en droit (Dr iur) de l’Université de Hambourg.
Membre des barreaux de Francfort-sur-le-Main et de l’Ontario, il a exercé le droit commercial européen et international au sein du cabinet Cleary Gottlieb, dans leur bureau de Bruxelles. Avant de rejoindre le Robinson College, il était tuteur en droit international public à University College, Oxford. Il est également conseiller juridique principal en droit du commerce, de l’investissement et du financement durables au Centre for International Sustainable Development Law (CISDL), basé à l’Université McGill.
Il est rédacteur pour le Cambridge Yearbook of European Legal Studies et codirige la collection sur la mise en œuvre des traités sur le développement durable chez Cambridge University Press. Il est l’auteur de plusieurs publications sur le droit de l’Union européenne, le droit international et le droit du développement durable.


Nahla Haidar
Nahla Haidar El Addal est une juriste qui compte plus de 30 ans de service international. Elle est actuellement présidente du Comité des Nations unies pour l'élimination de la discrimination à l'égard des femmes (CEDAW). Mme Haidar est également commissaire de la Commission internationale des juristes (CIJ).
Avant ces nominations, Mme Haidar a occupé diverses fonctions au sein du système des Nations unies, tant au Siège que sur le terrain, dans les domaines du développement social, de l'action humanitaire, de la consolidation de la paix et des droits de l'homme. Mme Haidar a été rapporteur pour l'élaboration et l'adoption de la recommandation générale 37 du CEDAW sur les dimensions liées au genre de la réduction des risques de catastrophes dans le contexte du changement climatique. CEDAW/C/GC/37.
Nahla Haidar El Addal est titulaire d'une maîtrise en droit de Panthéon-Sorbonne, Paris, France, et d'une licence en droit international de l'Université Saint-Joseph (USJ) de Beyrouth, Liban, ainsi que d'une « licence » en sociologie. L'arabe est sa langue maternelle et elle parle couramment le français et l'anglais, avec une connaissance pratique de l'espagnol.
Avant ces nominations, Mme Haidar a occupé diverses fonctions au sein du système des Nations unies, tant au Siège que sur le terrain, dans les domaines du développement social, de l'action humanitaire, de la consolidation de la paix et des droits de l'homme. Mme Haidar a été rapporteur pour l'élaboration et l'adoption de la recommandation générale 37 du CEDAW sur les dimensions liées au genre de la réduction des risques de catastrophes dans le contexte du changement climatique. CEDAW/C/GC/37.
Nahla Haidar El Addal est titulaire d'une maîtrise en droit de Panthéon-Sorbonne, Paris, France, et d'une licence en droit international de l'Université Saint-Joseph (USJ) de Beyrouth, Liban, ainsi que d'une « licence » en sociologie. L'arabe est sa langue maternelle et elle parle couramment le français et l'anglais, avec une connaissance pratique de l'espagnol.


Dr Blaise Carron
Blaise Carron est professeur de droit des obligations et de méthodologie juridique à l’Université de Neuchâtel, avocat-conseil chez AGON Partners Legal AG, arbitre indépendant, membre de la Cour d’arbitrage du Swiss Arbitration Centre et spécialiste certifié FSA en droit de la construction et de l’immobilier ainsi qu’en droit du bail. Il a auparavant été, entre autres, avocat auprès de la Commission de la concurrence (COMCO), collaborateur senior dans une étude de droit commercial et doyen de la Faculté de droit de l’Université de Neuchâtel (2018–2020). Il a également été membre de la commission d’experts nommée par le Conseil fédéral pour la réforme des autorités de la concurrence suisse (2023–2024). Il a étudié aux universités de Fribourg et de Tübingen (master, 1999 ; doctorat, 2003) ainsi qu’à la Harvard Law School (LL.M., 2002). Il est admis à pratiquer devant toutes les juridictions suisses ainsi qu’à New York.


François Cardinal
François Cardinal est un journaliste québécois.
Il a couvert pendant 25 ans divers secteurs comme la politique provinciale, l'environnement et les affaires urbaines. Il est actuellement éditeur adjoint et vice-président Information au quotidien La Presse, où il est entré en 2002. Il est également chroniqueur à la télé et à la radio.
François Cardinal est l’auteur des essais Le mythe du Québec vert, Perdus sans la nature, ainsi que Et si la beauté rendait heureux, qu’il a coécrit avec l’architecte Pierre Thibault. Il a aussi dirigé les ouvrages collectifs Rêver Montréal : 101 idées pour relancer la métropole, Lâchez pas, les gars !, ainsi que La Révolution Z.
Il a reçu le prix Judith-Jasmin, pour le meilleur texte d’opinion de l’année au Québec, ainsi que le prix Claude-Ryan, qui récompense l’éditorialiste canadien de l’année.
Il a notamment reçu le prix de la présidence de l’Institut royal d’architecture du Canada en 2015 et le prix Blanche-Lemco-Van Ginkel de l’Ordre des urbanistes du Québec en 2013 pour sa « contribution significative au développement de l’urbanisme au Québec ».
François Cardinal a aussi œuvré comme journaliste au quotidien Le Devoir, où il a exercé les fonctions de pupitreur, de reporter et de correspondant parlementaire à l’Assemblée nationale.
Il a auparavant été reporter au Journal de Montréal, en plus d’avoir été rédacteur en chef des magazines Ski Presse, Sno-Québec et Aventure Presse.
Il a couvert pendant 25 ans divers secteurs comme la politique provinciale, l'environnement et les affaires urbaines. Il est actuellement éditeur adjoint et vice-président Information au quotidien La Presse, où il est entré en 2002. Il est également chroniqueur à la télé et à la radio.
François Cardinal est l’auteur des essais Le mythe du Québec vert, Perdus sans la nature, ainsi que Et si la beauté rendait heureux, qu’il a coécrit avec l’architecte Pierre Thibault. Il a aussi dirigé les ouvrages collectifs Rêver Montréal : 101 idées pour relancer la métropole, Lâchez pas, les gars !, ainsi que La Révolution Z.
Il a reçu le prix Judith-Jasmin, pour le meilleur texte d’opinion de l’année au Québec, ainsi que le prix Claude-Ryan, qui récompense l’éditorialiste canadien de l’année.
Il a notamment reçu le prix de la présidence de l’Institut royal d’architecture du Canada en 2015 et le prix Blanche-Lemco-Van Ginkel de l’Ordre des urbanistes du Québec en 2013 pour sa « contribution significative au développement de l’urbanisme au Québec ».
François Cardinal a aussi œuvré comme journaliste au quotidien Le Devoir, où il a exercé les fonctions de pupitreur, de reporter et de correspondant parlementaire à l’Assemblée nationale.
Il a auparavant été reporter au Journal de Montréal, en plus d’avoir été rédacteur en chef des magazines Ski Presse, Sno-Québec et Aventure Presse.


Laverne Jacobs
Laverne Jacobs est professeure titulaire à la Faculté de droit de l’Université de Windsor. Elle est également membre experte élue du Comité des Nations Unies sur les droits des personnes handicapées. La professeure Jacobs est la première Canadienne à siéger à cet organe de traité des droits humains des Nations Unies.
Elle est présidente du Groupe de travail sur les communications et les enquêtes au sein du Comité relatif aux droits des personnes handicapées (CDPH) et en est également la rapporteuse.
Ancienne doyenne associée (à la recherche et aux études supérieures), la professeure Jacobs enseigne, mène des recherches et publie dans les domaines du droit des personnes handicapées, du droit administratif, de la justice administrative et des droits de la personne. Elle est l’autrice principale et la directrice éditoriale du premier manuel au Canada sur le droit et le handicap, publié en 2021. Elle a publié et présenté abondamment dans ses domaines d’expertise, tant au Canada qu’à l’échelle internationale. Elle est actuellement titulaire de la Chaire de recherche sur l’égalité des personnes handicapées et la justice administrative à la Faculté de droit de Windsor.
Dre Jacobs est fondatrice et directrice du projet Law, Disability & Social Change, un centre de recherche à la Faculté de droit de Windsor qui œuvre pour le développement de communautés inclusives. Elle est également co-directrice du Disability Rights Working Group du Center for Comparative Equality & Anti-Discrimination Law de la Faculté de droit de Berkeley.
Dre Jacobs a reçu de nombreux prix pour ses recherches, ses travaux universitaires et son engagement communautaire, notamment le prix Touchstone de l’Association du Barreau canadien, le prix d’excellence académique de l’Association canadienne des professeurs de droit (ACPD), le prix d’excellence en recherche (catégorie chercheur établi, Université de Windsor) et le prix Hummingbird du Réseau d’action des femmes handicapées (DAWN).
Elle est présidente du Groupe de travail sur les communications et les enquêtes au sein du Comité relatif aux droits des personnes handicapées (CDPH) et en est également la rapporteuse.
Ancienne doyenne associée (à la recherche et aux études supérieures), la professeure Jacobs enseigne, mène des recherches et publie dans les domaines du droit des personnes handicapées, du droit administratif, de la justice administrative et des droits de la personne. Elle est l’autrice principale et la directrice éditoriale du premier manuel au Canada sur le droit et le handicap, publié en 2021. Elle a publié et présenté abondamment dans ses domaines d’expertise, tant au Canada qu’à l’échelle internationale. Elle est actuellement titulaire de la Chaire de recherche sur l’égalité des personnes handicapées et la justice administrative à la Faculté de droit de Windsor.
Dre Jacobs est fondatrice et directrice du projet Law, Disability & Social Change, un centre de recherche à la Faculté de droit de Windsor qui œuvre pour le développement de communautés inclusives. Elle est également co-directrice du Disability Rights Working Group du Center for Comparative Equality & Anti-Discrimination Law de la Faculté de droit de Berkeley.
Dre Jacobs a reçu de nombreux prix pour ses recherches, ses travaux universitaires et son engagement communautaire, notamment le prix Touchstone de l’Association du Barreau canadien, le prix d’excellence académique de l’Association canadienne des professeurs de droit (ACPD), le prix d’excellence en recherche (catégorie chercheur établi, Université de Windsor) et le prix Hummingbird du Réseau d’action des femmes handicapées (DAWN).
Cohorte 2024-2025


L'honorable Nicholas Kasirer
L’honorable Nicholas Kasirer a obtenu un baccalauréat en droit civil et en common law de l’Université McGill en 1985, après avoir obtenu un baccalauréat en arts de l’Université de Toronto. En 1986, il a complété un Diplôme d’études approfondies (3e cycle) en droit international de l’Université Paris I (Panthéon-Sorbonne). Après avoir été auxiliaire juridique de l’honorable Jean Beetz à la Cour suprême du Canada, il a été admis au Barreau du Québec en 1987.
De 1989 à 2009, l’honorable Kasirer a été professeur à la Faculté de droit de l’Université McGill, où il a enseigné dans diverses spécialités, notamment le droit des obligations, le droit des biens, le droit de la famille et le droit successoral et testamentaire, en droit civil et en common law. Il a également été professeur invité dans plusieurs universités, y compris l’Université Paris I (Panthéon-Sorbonne). Il a occupé le poste de doyen à la Faculté de droit de l’Université McGill de 2003 à 2009.
L’honorable Kasirer a été titulaire de la chaire James McGill de 2002 à 2009 et directeur du Centre Paul-André Crépeau de droit privé et comparé de 1996 à 2003. Il est l’auteur de plus d’une centaine de publications traitant de domaines variés, dont le droit civil, le droit comparé et la jurilinguistique.
Depuis 1990, l’honorable Kasirer est secrétaire et membre du comité de rédaction du Dictionnaire de droit privé / Private Law Dictionary à la Faculté de droit de l’Université McGill. Il fait partie du comité éditorial de la Revue du Notariat, de la Revue de droit de l’Université de Sherbrooke, du Journal of Civil Law Studies de la Louisiana State University, de l'ISAIDAT Law Review de Turin (Italie) et de la Revue internationale de droit comparé à Paris.
En 2009, il a été nommé juge à la Cour d’appel du Québec. Durant les dix dernières années, il a rendu un grand nombre de jugements dans des domaines divers, tels que le droit privé, le droit pénal et le droit public y compris le droit constitutionnel.
Depuis 2006, il est membre titulaire de l’Académie internationale de droit comparé (Paris). En 2012, l’Université de Sherbrooke lui a décerné un doctorat honorifique en droit. En 2008, il a été élu comme membre de la Société royale du Canada.
L’honorable Nicholas Kasirer a été nommé juge à la Cour suprême du Canada le 16 septembre 2019.
De 1989 à 2009, l’honorable Kasirer a été professeur à la Faculté de droit de l’Université McGill, où il a enseigné dans diverses spécialités, notamment le droit des obligations, le droit des biens, le droit de la famille et le droit successoral et testamentaire, en droit civil et en common law. Il a également été professeur invité dans plusieurs universités, y compris l’Université Paris I (Panthéon-Sorbonne). Il a occupé le poste de doyen à la Faculté de droit de l’Université McGill de 2003 à 2009.
L’honorable Kasirer a été titulaire de la chaire James McGill de 2002 à 2009 et directeur du Centre Paul-André Crépeau de droit privé et comparé de 1996 à 2003. Il est l’auteur de plus d’une centaine de publications traitant de domaines variés, dont le droit civil, le droit comparé et la jurilinguistique.
Depuis 1990, l’honorable Kasirer est secrétaire et membre du comité de rédaction du Dictionnaire de droit privé / Private Law Dictionary à la Faculté de droit de l’Université McGill. Il fait partie du comité éditorial de la Revue du Notariat, de la Revue de droit de l’Université de Sherbrooke, du Journal of Civil Law Studies de la Louisiana State University, de l'ISAIDAT Law Review de Turin (Italie) et de la Revue internationale de droit comparé à Paris.
En 2009, il a été nommé juge à la Cour d’appel du Québec. Durant les dix dernières années, il a rendu un grand nombre de jugements dans des domaines divers, tels que le droit privé, le droit pénal et le droit public y compris le droit constitutionnel.
Depuis 2006, il est membre titulaire de l’Académie internationale de droit comparé (Paris). En 2012, l’Université de Sherbrooke lui a décerné un doctorat honorifique en droit. En 2008, il a été élu comme membre de la Société royale du Canada.
L’honorable Nicholas Kasirer a été nommé juge à la Cour suprême du Canada le 16 septembre 2019.


Hilary Pearson
Hilary Pearson est la chancelière de l’Université Brock. Elle a fait carrière pendant vingt ans dans le domaine de la philanthropie des fondations au Canada. En tant que présidente fondatrice de Fondations philanthropiques Canada (FPC), poste qu’elle a occupé pendant près de dix-huit ans, Hilary a collaboré avec bon nombre des plus grandes fondations de bienfaisance privées au Canada. De nombreuses fondations familiales ont pu compter sur ses conseils stratégiques et sur son aide pour comprendre le secteur, établir leurs objectifs, mettre en place leur structure de gouvernance et définir leurs pratiques d’octroi de dons.
Auteure de nombreux articles et comptes rendus sur la philanthropie des fondations, Mme Pearson est souvent invitée à donner des conférences et à animer des ateliers au Canada et ailleurs dans le monde. Dans le cadre de ses fonctions chez FPC, elle a publié des guides détaillés sur l’établissement et la gestion d’une fondation, ainsi que des guides à l’intention des fondations qui collaborent avec les gouvernements et les universités et qui participent à des actions de plaidoyer relatives aux politiques publiques.
Mme Pearson a une très bonne connaissance des politiques fédérales qui régissent les organismes de bienfaisance. Elle est coprésidente du Comité consultatif sur le secteur des organismes de la bienfaisance, qui conseille le gouvernement fédéral sur les questions relatives aux orientations et à la réglementation. De 2012 à 2015, elle a siégé au Comité consultatif du gouverneur général sur le bénévolat et la philanthropie. En juillet 2018, elle a été nommée membre de l’Ordre du Canada en reconnaissance de sa contribution à l’essor du secteur de la philanthropie au Canada. Mme Pearson a siégé à de nombreux conseils d’administration d’organismes sans but lucratif nationaux, dont les suivants Imagine Canada, The Stratford Shakespeare Festival of Canada, CARE Canada, Inspire et la Société canadienne du cancer. Elle est présidente du Conseil consultatif de l’Institut Coady de l’Université St. Francis Xavier et est membre du Comité consultatif du programme de maîtrise en philanthropie et en gestion d’organismes sans but lucratif offert à l’Université Carleton. Titulaire d’un baccalauréat et d’une maîtrise en économie politique de l’Université de Toronto, Mme Pearson a aussi reçu des doctorats honoris causa de l’Université Carleton, l’Université du Nouveau-Brunswick et l’Université Mount Allison.
Auteure de nombreux articles et comptes rendus sur la philanthropie des fondations, Mme Pearson est souvent invitée à donner des conférences et à animer des ateliers au Canada et ailleurs dans le monde. Dans le cadre de ses fonctions chez FPC, elle a publié des guides détaillés sur l’établissement et la gestion d’une fondation, ainsi que des guides à l’intention des fondations qui collaborent avec les gouvernements et les universités et qui participent à des actions de plaidoyer relatives aux politiques publiques.
Mme Pearson a une très bonne connaissance des politiques fédérales qui régissent les organismes de bienfaisance. Elle est coprésidente du Comité consultatif sur le secteur des organismes de la bienfaisance, qui conseille le gouvernement fédéral sur les questions relatives aux orientations et à la réglementation. De 2012 à 2015, elle a siégé au Comité consultatif du gouverneur général sur le bénévolat et la philanthropie. En juillet 2018, elle a été nommée membre de l’Ordre du Canada en reconnaissance de sa contribution à l’essor du secteur de la philanthropie au Canada. Mme Pearson a siégé à de nombreux conseils d’administration d’organismes sans but lucratif nationaux, dont les suivants Imagine Canada, The Stratford Shakespeare Festival of Canada, CARE Canada, Inspire et la Société canadienne du cancer. Elle est présidente du Conseil consultatif de l’Institut Coady de l’Université St. Francis Xavier et est membre du Comité consultatif du programme de maîtrise en philanthropie et en gestion d’organismes sans but lucratif offert à l’Université Carleton. Titulaire d’un baccalauréat et d’une maîtrise en économie politique de l’Université de Toronto, Mme Pearson a aussi reçu des doctorats honoris causa de l’Université Carleton, l’Université du Nouveau-Brunswick et l’Université Mount Allison.


Dr Philip Jaffé
Après un premier mandat de quatre ans (2019-2022) comme Membre du Comité des droits de l’enfant, le professeur Philip D. Jaffé a été réélu pour la période 2023-2027. Son parcours professionnel est relativement complexe puisqu’il a suivi des formations supérieures tant en Suisse (Genève et Fribourg) qu'aux États-Unis (New York et Boston). Pendant une trentaine d'années, il a enseigné à la Faculté de psychologie et des sciences de l'éducation de l'Université de Genève. En 2008, il est devenu directeur de l'Institut universitaire Kurt Bösch (IUKB) à Sion (Valais) et responsable de la nouvelle unité d'enseignement et de recherche sur les droits de l'enfant.
Pendant plusieurs années, son équipe et lui-même ont réussi à intégrer l'IUKB à l'Université de Genève qui, en 2015, a créé un nouveau Centre d'études des droits de l'enfant (CIDE). Dr. Jaffé maintient à Genève une petite pratique privée en psychologie clinique et en psychologie légale qu’il considère comme un carburant essentiel pour ses activités d'enseignement. En effet, il enseigne toujours la psychologie juridique à l'Université de Genève. À plusieurs reprises, il a eu le privilège d'être appelé à effectuer des missions humanitaires pour de grandes institutions gouvernementales internationales dans plusieurs régions troublées du monde, comme le Caucase, l'Irak ou la province d'Aceh en Indonésie.
Pendant plusieurs années, son équipe et lui-même ont réussi à intégrer l'IUKB à l'Université de Genève qui, en 2015, a créé un nouveau Centre d'études des droits de l'enfant (CIDE). Dr. Jaffé maintient à Genève une petite pratique privée en psychologie clinique et en psychologie légale qu’il considère comme un carburant essentiel pour ses activités d'enseignement. En effet, il enseigne toujours la psychologie juridique à l'Université de Genève. À plusieurs reprises, il a eu le privilège d'être appelé à effectuer des missions humanitaires pour de grandes institutions gouvernementales internationales dans plusieurs régions troublées du monde, comme le Caucase, l'Irak ou la province d'Aceh en Indonésie.


Dre Dawn Memee Lavell-Harvard
Dawn Lavell Harvard, Ph.D., est fière d'appartenir à la Première Nation Wiikwemkoong, à l'Île Manitoulin. Elle est Directrice du First Peoples House of Learning à l'Université de Trent et ancienne présidente de l'Association des femmes autochtones du Canada et de l’Association des femmes autochtones de l'Ontario (2004-2015). Par ses travaux savants et ses conférences au Canada et à l’international, Dr. Lavell-Harvard contribue à rompre le cycle de la pauvreté chez les femmes autochtones et leurs familles au moyen de réformes de l’enseignement adaptées aux réalités culturelles. Elle a obtenu de nombreuses distinctions honorifiques, dont le prix “Spirit of Barbara Schlifer” 2018 en reconnaissance de sa lutte acharnée contre les violences vécues par les femmes autochtones. Elle préside le conseil d’administration de NIWEE (National Indigenous Women Entrepreneurs’ Ecosystem) et siège comme membre du conseil d’administration de la Fondation canadienne des femmes.


L'honorable Simon Ruel
L’honorable Simon Ruel a été nommé juge à la Cour d'appel du Québec le 21 juin 2017 après avoir été juge à la Cour supérieure du Québec de 2014 à 2017. Au cours de sa carrière d’avocat, il a exercé principalement en droit public, administratif et des affaires gouvernementales. Après avoir entamé sa carrière au cabinet Grey Casgrain à Montréal, il a été avocat plaidant et conseiller juridique au ministère de la Justice du Canada, au Bureau du Conseil privé et au ministère des Finances du Canada à Ottawa. Avant sa nomination à la Cour supérieure, il était associé au cabinet BCF Avocats d’affaires à Québec et auparavant au cabinet national canadien Heenan Blaikie. L’honorable Ruel a participé en tant que procureur à plusieurs enquêtes publiques et règlementaires fédérales et provinciales et a enseigné le droit public et administratif à l’École du Barreau du Québec et le droit de la preuve à l’Université d’Ottawa.
Président du Comité de la magistrature sur la sécurité de l’information (« COMSI ») et de la Section des juges de l’Association du Barreau canadien, l’honorable Ruel est membre puîné du Comité sur l’indépendance judiciaire du Conseil canadien de la magistrature et co-président du sous-comité sur les médias sociaux du Conseil. Il a été, comme avocat, conseiller auprès du Conseil concernant la réforme du processus disciplinaire des juges de nomination fédérale et, à titre de membre du Comité sur l’indépendance, a participé à la révision des Principes de déontologie judiciaire pour les juges fédéraux, mis à jour en 2021. L’honorable Ruel s’intéresse également au droit international. En 2014, il a participé à une mission internationale d’évaluation des mesures anti-corruption prises par la République d’Haïti pour le compte de Transparency International/Haïti, en prévision de la révision de la mise en œuvre par Haïti de la Convention des Nations Unies contre la corruption. Il anime « Sous le feu », une série de Balados préparés par l’Institut canadien d’administration de la justice et donnant la parole à des spécialistes du droit international, du droit de la guerre, du droit humanitaire et du droit pénal international.
Président du Comité de la magistrature sur la sécurité de l’information (« COMSI ») et de la Section des juges de l’Association du Barreau canadien, l’honorable Ruel est membre puîné du Comité sur l’indépendance judiciaire du Conseil canadien de la magistrature et co-président du sous-comité sur les médias sociaux du Conseil. Il a été, comme avocat, conseiller auprès du Conseil concernant la réforme du processus disciplinaire des juges de nomination fédérale et, à titre de membre du Comité sur l’indépendance, a participé à la révision des Principes de déontologie judiciaire pour les juges fédéraux, mis à jour en 2021. L’honorable Ruel s’intéresse également au droit international. En 2014, il a participé à une mission internationale d’évaluation des mesures anti-corruption prises par la République d’Haïti pour le compte de Transparency International/Haïti, en prévision de la révision de la mise en œuvre par Haïti de la Convention des Nations Unies contre la corruption. Il anime « Sous le feu », une série de Balados préparés par l’Institut canadien d’administration de la justice et donnant la parole à des spécialistes du droit international, du droit de la guerre, du droit humanitaire et du droit pénal international.


Dre Bessma Momani
Dre Bessma Momani est vice-rectrice associée aux relations internationales à l’Université de Waterloo et professeure titulaire au Département de sciences politiques. Elle est chercheuse principale au Centre pour l’innovation dans la gouvernance internationale (CIGI), chercheuse non résidente au Arab Gulf States’ Institute de Washington (D.C.) et boursière Fulbright. Elle a été vice-rectrice adjointe par intérim aux relations internationales à l’Université de Waterloo et fellow de la Fondation Pierre Elliott Trudeau (2015), et a auparavant agi à titre de chercheuse principale non résidente à la Brookings Institution et au Stimson Center à Washington (D.C.), en plus d’être chercheuse invitée au Mortara Center de l’Université Georgetown.
Récipiendaire de nombreux prix et subventions de recherche, Dre Bessma Momani a travaillé en tant que consultante auprès du Fonds monétaire international, tant au Bureau des communications qu’au Bureau d’évaluation indépendant. En tant qu’analyste des médias et analyste politique sur le Moyen-Orient, les affaires internationales et l’économie mondiale, Dre Bessma Momani commente régulièrement l’actualité dans le Globe and Mail et le New York Times, dans les revues Time, Newsweek et The Economist ainsi que dans le National Post et le Toronto Star. En outre, elle collabore fréquemment avec les médias et a donné des milliers d’entrevues en direct sur CNN, CBC News, CTV, Al Jazeera, CGTN, TRT World et BNN Bloomberg.
Récipiendaire de nombreux prix et subventions de recherche, Dre Bessma Momani a travaillé en tant que consultante auprès du Fonds monétaire international, tant au Bureau des communications qu’au Bureau d’évaluation indépendant. En tant qu’analyste des médias et analyste politique sur le Moyen-Orient, les affaires internationales et l’économie mondiale, Dre Bessma Momani commente régulièrement l’actualité dans le Globe and Mail et le New York Times, dans les revues Time, Newsweek et The Economist ainsi que dans le National Post et le Toronto Star. En outre, elle collabore fréquemment avec les médias et a donné des milliers d’entrevues en direct sur CNN, CBC News, CTV, Al Jazeera, CGTN, TRT World et BNN Bloomberg.


L'honorable Denis Paradis
Riche d’une expérience professionnelle et politique extrêmement prolifique, L’honorable Denis Paradis, C.P., Ad.E., a rejoint en 2006 le bureau Dunton Rainville en qualité d’avocat-conseil, où il exerce principalement dans les domaines administratif, corporatif et fiscal. Après avoir prêté serment au Barreau du Québec en 1976, l’honorable Paradis a exercé durant près de vingt ans au sein du cabinet Paradis et Associés, qu’il a également fondé. Durant cette période, l’honorable Paradis a aussi enseigné le droit agricole au Barreau du Québec. Élu vice-président du Barreau du Québec en 1992, puis Bâtonnier en 1993, l’honorable Paradis a, tout au long de sa carrière, constamment démontré la sincérité de son implication professionnelle ainsi que la volonté de défendre et promouvoir le rayonnement de la profession d’avocat.
L’implication de l’honorable Paradis s’est tout naturellement également révélée dans la sphère politique. Tout d’abord à un niveau local, l’honorable Paradis a été Député de Brome-Missisquoi au Parlement du Canada, puis à l’échelon national, il a eu la charge de trois portefeuilles ministériels entre 2002 et 2004, soit le Ministère d’État Amérique Latine et Afrique, le Ministère de la Francophonie ainsi que le Ministère d’État aux Institutions Financières. Résolument orienté vers l’international, Me Paradis a notamment fondé en 2008 l’Alliance d’Affaires Canada-Algérie et en est aujourd’hui le président. Il a également œuvré pour la Banque Interaméricaine de développement et la Banque Mondiale et a préparé le Sommet des chefs d’État de la Francophonie à Beyrouth.
L’implication de l’honorable Paradis s’est tout naturellement également révélée dans la sphère politique. Tout d’abord à un niveau local, l’honorable Paradis a été Député de Brome-Missisquoi au Parlement du Canada, puis à l’échelon national, il a eu la charge de trois portefeuilles ministériels entre 2002 et 2004, soit le Ministère d’État Amérique Latine et Afrique, le Ministère de la Francophonie ainsi que le Ministère d’État aux Institutions Financières. Résolument orienté vers l’international, Me Paradis a notamment fondé en 2008 l’Alliance d’Affaires Canada-Algérie et en est aujourd’hui le président. Il a également œuvré pour la Banque Interaméricaine de développement et la Banque Mondiale et a préparé le Sommet des chefs d’État de la Francophonie à Beyrouth.


Orlando Arriagada
Arrivé au Québec dans les années 90, Orlando Arriagada fait rapidement sa marque dans l’industrie télévisuelle à titre de producteur et d’homme d’affaires. En 1996, il fonde sa première compagnie, Al Dente Films, suivi de Tutti Frutti Films en 2003, qu’il vendra à FRV Média. En 2007, Pimiento voit le jour et a produit depuis près d’une trentaine de documentaires uniques et séries documentaires diffusées sur les ondes de Canal D, APTN, Ici Radio-Canada et Canal vie, pour ne nommer qu’eux, en plus de nombreuses créations pour les nouveaux médias. Comme réalisateur, on doit notamment à Orlando les documentaires Derrière le miracle, Miss inc., Au pif, la série Amérikologie, L’ADN du ceviche, sélectionné au 63e Festival international de San Sebastian dans la catégorie «Culinary Zinema» , La bataille de Nancy, et en 2021, la série voir la musique autrement et sa toute dernière production, le documentaire unique intitulé "La purge, LGBT, la sombre histoire" (diffusées le 16 septembre 2023 sur ICI Première) et qui a attiré toutes les attentions et qui a suscité un intérêt médiatique important.
Au fil des ans, il s’est impliqué dans plusieurs organismes, dont la Chambre de commerce latino-américaine du Québec et l’Association des producteurs de films et de télévision du Québec. Orlando Arriagada s’implique également pour la relève du cinéma et de la télévision, ayant entre autres créé la bourse d’études Pimiento permettant de couvrir les frais de scolarité de certains de ses employés, admis à L’inis. Il collabore également à de nombreuses reprises avec des festivals et organismes du milieu du cinéma et de la télévision, dont récemment avec Fantasia et le Festival du film black de Montréal. De 2019 à 2023, Orlando a opéré en tant que Professeur et Directeur du Master documentaire et du Lab de création documentaire à l'ESCAC (École supérieure du cinéma de Catalogne) à Barcelone.
Au fil des ans, il s’est impliqué dans plusieurs organismes, dont la Chambre de commerce latino-américaine du Québec et l’Association des producteurs de films et de télévision du Québec. Orlando Arriagada s’implique également pour la relève du cinéma et de la télévision, ayant entre autres créé la bourse d’études Pimiento permettant de couvrir les frais de scolarité de certains de ses employés, admis à L’inis. Il collabore également à de nombreuses reprises avec des festivals et organismes du milieu du cinéma et de la télévision, dont récemment avec Fantasia et le Festival du film black de Montréal. De 2019 à 2023, Orlando a opéré en tant que Professeur et Directeur du Master documentaire et du Lab de création documentaire à l'ESCAC (École supérieure du cinéma de Catalogne) à Barcelone.


Myrlande Pierre
Mme Myrlande Pierre est vice-présidente de la Commission des droits de la personne et des droits de la jeunesse. Elle est notamment responsable du mandat confié à la Commission par la Charte des droits et libertés de la personne et la Loi sur l’accès à l’égalité en emploi dans des organismes publics. Mme Pierre est une experte reconnue à l’échelle nationale et internationale dans le domaine de l’immigration et de l’intégration socioéconomique et plus particulièrement de l’intégration socioéconomique des minorités racisées. Les questions de racisme et de discrimination systémiques, ainsi que les enjeux touchant les femmes des minorités ethnoculturelles et racisées constituent la pierre angulaire de ses travaux.
Sociologue de formation, sa carrière est également marquée par son engagement social. À cet égard, Mme Pierre fut nommée présidente de la Table sur la diversité, l’inclusion et la lutte contre les discriminations par la Mairesse de Montréal (mars 2018 à juin 2019). Elle a été membre d’un comité d’experts sur les communautés noires du Canada à Statistique Canada (2018 – 2019)· Ce comité a été appelé à définir des orientations et politiques relativement à la réalité et enjeux socioéconomiques des communautés noires du Québec et du Canada. Myrlande Pierre a obtenu plusieurs prix pour son implication à l’avancement des droits des femmes et des minorités racisées. Elle a notamment reçu en 2018, la Médaille de l’Assemblée nationale. Plus récemment, elle a reçu le Prix Opale Diversité (2020). En 2001, Mme Pierre reçoit le Prix Femme, politique et société pour son engagement communautaire et sa contribution à faire avancer les questions de participation et de représentation des femmes des minorités racisées dans les structures institutionnelles et démocratiques.
Sociologue de formation, sa carrière est également marquée par son engagement social. À cet égard, Mme Pierre fut nommée présidente de la Table sur la diversité, l’inclusion et la lutte contre les discriminations par la Mairesse de Montréal (mars 2018 à juin 2019). Elle a été membre d’un comité d’experts sur les communautés noires du Canada à Statistique Canada (2018 – 2019)· Ce comité a été appelé à définir des orientations et politiques relativement à la réalité et enjeux socioéconomiques des communautés noires du Québec et du Canada. Myrlande Pierre a obtenu plusieurs prix pour son implication à l’avancement des droits des femmes et des minorités racisées. Elle a notamment reçu en 2018, la Médaille de l’Assemblée nationale. Plus récemment, elle a reçu le Prix Opale Diversité (2020). En 2001, Mme Pierre reçoit le Prix Femme, politique et société pour son engagement communautaire et sa contribution à faire avancer les questions de participation et de représentation des femmes des minorités racisées dans les structures institutionnelles et démocratiques.


Dr Bernard Motulsky
Détenteur d’une maîtrise et d’un doctorat (Ph.D.) en philosophie, Dr. Bernard Motulsky est l’auteur de plusieurs ouvrages sur les communications. Il possède une expérience de plus de trente ans dans le domaine de la communication et des relations publiques. Actuellement professeur au département de communication sociale et publique de l’UQAM, il a débuté sa carrière comme rédacteur et journaliste avant de devenir professeur de communication à l’Université Laval. Il a occupé par la suite plusieurs postes, en particulier au sein du Groupe Cossette, au gouvernement du Québec, à la Bourse de Montréal et à l’Université de Montréal. Il a été président du Conseil consultatif de régie administrative de l’Autorité des marchés financiers du Québec (AMF) entre 2005 et 2015 et président de la Société québécoise des professionnels en relations publiques (SQPRP) de 2014 à 2016.
Il est détenteur de plusieurs prix, dont la plus haute distinction de la Société québécoise des professionnels en relations publiques, le prix Yves St-Amand décerné en 2024. Souvent appelé à commenter l’actualité dans les médias, il est vice-président fondateur de l’Académie des controverses et de la communication sensible, basée à Paris. Il s’intéresse également aux enjeux de la migration et de l’identité et a publié en 2023 un livre sur la quête qu’il a menée sur son histoire familiale à travers les tourments de l’histoire.
Il est détenteur de plusieurs prix, dont la plus haute distinction de la Société québécoise des professionnels en relations publiques, le prix Yves St-Amand décerné en 2024. Souvent appelé à commenter l’actualité dans les médias, il est vice-président fondateur de l’Académie des controverses et de la communication sensible, basée à Paris. Il s’intéresse également aux enjeux de la migration et de l’identité et a publié en 2023 un livre sur la quête qu’il a menée sur son histoire familiale à travers les tourments de l’histoire.


Richard Thompson Ford
Professeur à la faculté de droit de l’Université Stanford, Richard T. Ford est un spécialiste des droits civils et du droit sur l’antidiscrimination. Il a acquis la réputation d’être une voix éclairée et un auteur percutant sur les questions de racisme et de multiculturalisme. Alliant critique sociale et analyse juridique, ses travaux portent sur les conflits sociaux et juridiques liés aux plaintes pour discrimination, les causes et les effets de la ségrégation raciale ainsi que l’utilisation des frontières territoriales comme instruments de régulation sociale.
Il publie tant pour les amateur.rice.s de lecture populaire que pour les universitaires et les juristes. Il a écrit pour le New York Times, le Washington Post, le San Francisco Chronicle, le Christian Science Monitor, Vox, New York Daily News, Slate et a été chroniqueur pour The American Interest. Son plus récent livre, Dress Codes: How the Laws of Fashion Made History, a été traduit en cinq langues et a été sélectionné comme “Editor’s Choice Ted Talk” en 2021. Deux autres de ses livres, Rights Gone Wrong: How Law Corrupts the Struggle for Equality et The Race Card: How Bluffing About Bias Makes Race Relations Worse, ont été primés comme “livres marquants de l’année” par le New York Times. Il est aussi l’auteur des livres Racial Card: A Critique et Universal Rights Down to Earth. Richard T. Ford est membre de l’American Law Institute, membre fondateur de l’Academic Freedom Alliance et membre du conseil d’administration de l’Author’s Guild Foundation. Il a été professeur invité à l’Université Harvard, à l’Université Columbia, à l’Université Yale et a dispensé des formations dans 12 pays parmi 5 continents.
Il publie tant pour les amateur.rice.s de lecture populaire que pour les universitaires et les juristes. Il a écrit pour le New York Times, le Washington Post, le San Francisco Chronicle, le Christian Science Monitor, Vox, New York Daily News, Slate et a été chroniqueur pour The American Interest. Son plus récent livre, Dress Codes: How the Laws of Fashion Made History, a été traduit en cinq langues et a été sélectionné comme “Editor’s Choice Ted Talk” en 2021. Deux autres de ses livres, Rights Gone Wrong: How Law Corrupts the Struggle for Equality et The Race Card: How Bluffing About Bias Makes Race Relations Worse, ont été primés comme “livres marquants de l’année” par le New York Times. Il est aussi l’auteur des livres Racial Card: A Critique et Universal Rights Down to Earth. Richard T. Ford est membre de l’American Law Institute, membre fondateur de l’Academic Freedom Alliance et membre du conseil d’administration de l’Author’s Guild Foundation. Il a été professeur invité à l’Université Harvard, à l’Université Columbia, à l’Université Yale et a dispensé des formations dans 12 pays parmi 5 continents.


Nadja Pollaert
Directrice générale de Médecins du Monde Canada depuis 2014, Nadja Pollaert a assumé divers postes de responsabilités et peut témoigner de plusieurs réalisations notables. En effet, elle a dirigé le Bureau international des droits des enfants, une organisation internationale non gouvernementale ayant un statut consultatif auprès du Conseil économique et social des Nations Unies. Chevronnée en matière de droits et de protection de l’enfant, elle a initié et mené des projets avec de multiples donateurs et partenaires dans plus d’une quinzaine de pays en Afrique, au Moyen-Orient et en Amérique centrale. Co-présidence du Réseau d’intervention humanitaire du Canada (HRN) de 2018-2020, Nadja Pollaert a été nommée au Conseil d’orientation du Centre d’études et de recherches internationales (CÉRIUM) en 2009.
Par ailleurs, elle a coordonné pendant plusieurs années le Comité d’aide aux réfugiés, une organisation de défense des droits pour les demandeurs d’asile et les réfugiés du Canada. Décidée à contribuer à la défense des droits de la personne, elle s’est engagée dans plusieurs organisations à titre d’administratrice et de bénévole, dont la Maison Buissonnière, un organisme voué au développement social des enfants, la Coalition canadienne des droits de l’enfant, Paix durable et Amnistie internationale – section francophone. Politologue de formation, elle est diplômée en relations internationales de l’Institut d’études politiques de Paris (IEP). Nadja détient également une maîtrise en relations internationales de l’Université de Montréal.
Par ailleurs, elle a coordonné pendant plusieurs années le Comité d’aide aux réfugiés, une organisation de défense des droits pour les demandeurs d’asile et les réfugiés du Canada. Décidée à contribuer à la défense des droits de la personne, elle s’est engagée dans plusieurs organisations à titre d’administratrice et de bénévole, dont la Maison Buissonnière, un organisme voué au développement social des enfants, la Coalition canadienne des droits de l’enfant, Paix durable et Amnistie internationale – section francophone. Politologue de formation, elle est diplômée en relations internationales de l’Institut d’études politiques de Paris (IEP). Nadja détient également une maîtrise en relations internationales de l’Université de Montréal.


Jose Andres Egas Loaiza
M. Egas est le représentant du bureau multi-pays du HCR (l'Agence des Nations Unies pour les réfugiés) à Panama. Il a rejoint le HCR il y a près de 20 ans à Luanda, en Angola. Depuis, il a travaillé pour le HCR dans plus d'une douzaine de bureaux dans plusieurs pays, dont l'Angola, le Brésil, la Colombie, le Myanmar, l'Iran, la Grèce et le Panama, ainsi qu'au siège du HCR à Genève. M. Egas a occupé divers postes, notamment celui de chef de divers bureaux locaux, de responsable des programmes et de la planification, de l'administration et des ressources humaines, ainsi que de la protection des réfugiés et des personnes déplacées à l'intérieur de leur propre pays. Il a participé aux processus de retour et de rapatriement, à la gestion de plusieurs situations d'urgence, à la coordination et à la représentation du HCR dans les processus interinstitutionnels des Nations unies et a travaillé dans la section des donateurs privés du HCR.
Avant d’arriver au Panama, M. Egas était directeur du programme de transformation de l'organisation (BTP) au siège du HCR à Genève et, auparavant, il était représentant du HCR au Brésil. M. Egas est citoyen équatorien et brésilien, marié et père de deux enfants. M. Egas est titulaire d'une licence en sociologie du développement de l'Université San Francisco de Quito/Equateur et du Kalamazoo College/USA et d'un master en études du développement de l'Institut d'études sociales de La Haye/Pays-Bas. Il parle anglais, espagnol et portugais.
Avant d’arriver au Panama, M. Egas était directeur du programme de transformation de l'organisation (BTP) au siège du HCR à Genève et, auparavant, il était représentant du HCR au Brésil. M. Egas est citoyen équatorien et brésilien, marié et père de deux enfants. M. Egas est titulaire d'une licence en sociologie du développement de l'Université San Francisco de Quito/Equateur et du Kalamazoo College/USA et d'un master en études du développement de l'Institut d'études sociales de La Haye/Pays-Bas. Il parle anglais, espagnol et portugais.


Agnès Gruda
Diplômée en Communications de l’université Concordia, Agnès Gruda a travaillé pendant 35 ans comme journaliste à La Presse où elle a oeuvré notamment comme éditorialiste, adjointe à la direction de l’information, reporter et chroniqueuse internationale. Elle a réalisé des reportages dans plus d’une trentaine de pays, incluant des zones de conflits telles que l’ex-Yougoslavie, le Proche-Orient, l’Ukraine et la Libye. Elle s’est intéressée particulièrement au conflit israélo-palestinien, aux mouvements migratoires et aux printemps arabes.
Cette expertise l'a amenée à rédiger une chronique internationale à Radio-Canada et à enseigner le journalisme international à l'Université de Montréal. Elle est membre du conseil d'administration du Centre d'études sur les médias et membre du jury du Fonds québécois de journalisme international.
Parallèlement à sa carrière de journaliste, elle a publié deux recueils de nouvelles, Onze petites trahisons, en 2010 (Prix Adrienne-Choquette et finaliste au Prix du Gouverneur général) et Mourir mais pas trop, en 2016.
Cette expertise l'a amenée à rédiger une chronique internationale à Radio-Canada et à enseigner le journalisme international à l'Université de Montréal. Elle est membre du conseil d'administration du Centre d'études sur les médias et membre du jury du Fonds québécois de journalisme international.
Parallèlement à sa carrière de journaliste, elle a publié deux recueils de nouvelles, Onze petites trahisons, en 2010 (Prix Adrienne-Choquette et finaliste au Prix du Gouverneur général) et Mourir mais pas trop, en 2016.
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